PEINTURES
Florence Pierre, diplômée de L’Esag Penninghen en 1984, s’emploie depuis à communiquer par différentes voies créatives. Conceptrice, graphiste, directrice artistique dans la publicité, elle est aussi artiste peintre, photographe et réalisatrice. Elle a participé à plusieurs expositions(voire chapitre expositions) et réalisée des vidéos dance et artistiques(voire film maker).
Un monde de silence. Tout y est peint, rien n’y est dit. Réapprendre à voir, sans espoir, ni désespoir. Découvrir, dans le brou- haha du silence les chaos de la vie. Ecouter les yeux grands ouverts.
GALERIE DE PERSONN E
Personne ou personn___alitée, personn_____age, personn____elle, personn_____e s’exposent.
Galerie de portraits nus,ils naissent de la matière, se dessinent , se remplissent. Toutes les toiles sont des peintures anciennes que j’ai décidais de repeindre pour raconter l’histoire de chacun de ces personn__________es.
Des portraits nus, remplis d’humanité. Des peaux, transparentes, ou opaques,lumineuses ou diffuses, Des vies minuscules et majuscules. Je les rencontre dans une association d’aide alimentaire un tourbillon de personnalités , de vie, que
je partage en 2min. Ils m’apprennent , me nourrissent beaucoup.......Sans titre, sans frontière, les peindre et les exposer, les raconter, leur donner de la place.
Peindre er dépeindre, se déposer dans l’espace autrement.Personn_____e s’exopose.
J’ai travaillé cette série sur plusieurs supports : _toiles déjà peintes libérées de leur cadre ou pas , en suspension ou accrochées, peintes et dépeintes. _Dessins encre de chine sur calque encadrées dans des caches de diapos elles sont
éclairées_ Dessins et collages.
SANS SUITE _ huile sur toile _ 24X430
ANTI_CORPS
Dans cette série, j’ai voulu travailler sur une chorégraphie . Des corps qui s’extirpent, s’échappent, les errants des champs miné.
ENFERMER DANS LE VENT
Elle semblait pour moi enfermer dans le vent ; expression que j’ai emprunté aux bédoins quand ils parlent des fous.
ESPACE FRAGILE
LA FEMME (D)FENDUE
Exposition La femme du Futur/ Galerie Mémoire de l’Avenir.
La Femme D (fendue) est une tentative de mettre en mots et en images le parcours libérateur dʼune femme sous emprise. Initialement prisonnière de son corps, aliénée par lʼintensité du désir pour lʼautre, La Femme D (fendue) souffre. En silence. Peu à peu les mots auront le pouvoir de lʼaffranchir, de lui redonner prise, à la fois sur son corps et sur son esprit. La Femme (D) fendue nous donne à voir et à lire la traversée initiatique dʼune femme jusquʼà la rencontre dʼelle-même. Entre mémoire et futur, la nécessité pour toute femme de naitre à soi-même. Dʼune manière ou dʼune autre. La Femme D (fendue) est un projet co-réalisé par deux femmes. Florence Pierre, directrice artistique, réalisatrice et artiste peintre. Marie Gossart, poète, performeuse et artiste visuelle. Il se présente sous forme de 18 tableaux (huiles sur toile, de dimensions variables) réalisés par Florence Pierre et de textes écrits (et enregistrés) par Marie Gossart.
J’ai peint les blessures de la FEMME DE avec de la couleur, des matières, des traits. Comme la voix, la peinture se dépose sur les mots pour leur donner corps et les accompagner. La trame picturale se pose sur la trame de la poésie. Alors, elle s’en extrait pour la faire vivre autrement, plus loin. La poésie est peinture, la peinture est poésie. J’ai fait miennes les déchirures de M. LA FEMME D. Deux femmes partagent leur douleur, deux femmes s’épaulent. Les poèmes de Marie Gossart transpercent la toile ou la caressent, l’effleurent ou s’y incrustent. Les toiles les attirent, les rejettent, elles en amplifient l’écho.
Accrocher des poésies sur des cimaises, tel est mon travail à partir des textes de Marie Gossart.
EN ELLE, En Lui
Série de 4 toiles : Des corps qui s’infiltrent dans l’espace? ou qui sont à fleur de terre? Ils sont un? ils sont deux? Ils se prennent, s’enlacent? Un corps qui s’offre? Du désir? L’attente
PIEDS&MAINS
Parce que les pieds&Mains pour moi sont une partie du corps si interessante, si fascinante, si importante, c’est notre socle. Les pieds rentrent enfin dans le cadre et en sortent aussi. Des pieds comme des ailes qui nous libèrent . Des mains qui nous attachent ou nous détachent? Dans ma peinture c’est comme si je les détachais d’un corps, ceux sont nos 4 points cardinaux qui nous orientent ou nous déboussolent…
Peindre l’espace que crée la posture d’un pied ou d’une main
PAUSE
Le moment d’attente dans l’espace, un moment d’arrêt pour rentrer à l’intérieur de soi, ou une attitude face à un regard de peintre. Des portraits qui semblent sortis d’un mur. Capturer la fragilité d’un personnage dans son immobilité extèrieure.
SYNONYMES
Se substituer l’un à l’autre